
Regroupés au sein de 32 clubs appelés «
initiatives », certains de ces jeunes étaient fumeurs de chanvre, des
vagabonds, des drogués, bref des auteurs potentiels des violences basées sur le
genre. Aujourd’hui, leaders dans leurs communautés, ils témoignent de leur
changement.
Aujourd’hui, leaders dans leur
<<Paroles aux bénéficiaires>>
«J’ignorais que j’étais violeur»
Jean Harerimana au milieu de ses pairs en...